O triste réalité a laquelle je ne peu faire fasse, que les tenèbre s'écoiulent sur mes yeux arides et que la vie quitte dans une balle mon corps.
Que la joie s'envole dans un élan et que les rumeurs océanes deviennet mes seules compagne. Ô Tristesse éteins ton linceuil et sèche tes larmes, sèche ta haine envers ces peuples qui par leurs indifférence voient s'écrouler lem onde parfait dans lequel naguère les éléphant y vivaient en paix.